REGARDS

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Des Mots

Je voudrais tant de mots, je voudrais en trouver tant et tant, des mots même les plus dérisoires. des mots pour baliser, des mots pour entourer, de mots de passe pour se dire que c’est fini, que la douleur de l’absence est cernée, bornée et quelle peu donc s’en aller.

Mais non, plus il y a de mots plus il y a d’espace.

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Réflexion sur le voile : un jeu de lumière. Un Regard.

En réponse à l'article d'Elleirame : un jour je sortirais voilée. Modestement quelques réflexions

Cette subite actualité autour du voile et du voile intégral en particulier me gène et m'interroge : Doit on protéger les femmes voilées ? Doit on se protéger des femmes voilées ? Et si tous cela n'était qu'une façon pour un gouvernement moribond d'occuper l'actualité ? Mais peut être le plus important "Sur quoi le port du voile m'interpelle ?

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Malaise Matinal, Délation Citoyenne, Sans Papier, Mitterand, Tourisme Sexuel, FN : BEURK

Ce matin c'est la gerbe, oui la vrai gerbe. Celle qui vient du fond des tripes. Qui ne vous laisse même plus de goût amer tellement elle ne cesse. Télescopage des nouvelles du jour, terrible mélange qui retourne les tripes tant il est nauséabond.

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Belle émotion sur une beau spectacle

Dimanche dernier je suis aller voir à Levens l'Homme Semence.

avec Maryse Mazzani, Maude Leclerc. Mise en scène Didier Kovarsky sur un texte de Violette Ailhaud aux éditions Paroles

Tirer du texte éponyme.
L'histoire d'un village sans homme par deux fois, après la guerre de 14 et à la fin du XIXeme siècle. Et une femme qui raconte le manque et le désir et le pacte un peu fou de ces femmes qui décident de se partager le premier homme qui passerait.

Faire reculer l'innommable et continuer la vie. Continuer de vivre. Un texte beau, sensible, sensuel, grave. Un texte d'espérance.

Jolie incarnation subtile, et émouvante. Merci à Maude, Maryse et Didier.

Pour nous les femmes, il n'y a pas victoire mais vide et je joins mes larmes à celles de toutes les femmes, allemandes ou françaises, qui errent dans leur maison sans homme ... J'avais 16 ans en 1851, 35 ans en 1870 et 84 aujourd'hui. A chaque fois, la République nous a fauché nos hommes comme on fauche les blés. C'était un travail propre. Mais nos ventres, notre terre, à nous les femmes, n'ont plus donné de récolte. A tant faucher les hommes, c'est la semence qui nous a manqué.

En France c'est la guerre. La guerre n'a pas de visage mais elle a un nom H1N1

(photo par Satane licence créative commons)

L'appel aux bonnes volontés citoyennes et bénévoles est en marche. Courage peuple français !

Peut être est ce le message que l'on doit entendre, nous sommes en guerre et rien d'autre n'a d'importance. Comme dans tous conflits, tout doit être sacrifié, pour assurer la victoire ou du moins limiter les pertes. Les pertes dû à la guerre bien sur, les autres... Est ce vraiment la peine que je vous le rappelle la France est en guerre.

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Lettre envoyée à Bernard Brochand député cannois contre le vote de la loi Hadopi

Monsieur le député

Je vous avais déjà contacté pour vous faire savoir ma farouche opposition à cette loi. Vous aviez répondu à ce mail par l'intermédiaire d'une de vos collaboratrice, ce dont je vous remercie.

Je vous écrit à nouveau pour continuer à vous transmettre ma farouche opposition à ce texte.

Pourquoi ?

Pour télécharger tranquillement. Pas du tout.

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Ca y est ce coup ci ça redemarre

Pas toujours facile d'avoir plein de projets d'y penser de s'y mettre et surtout de les suivre...

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